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L'histoire de notre élevage remonte en fait à 1975, où nous avons eu une véritable révélation pour un chien dont nous ne connaissions même pas le nom à l'époque, lors de la projection du film "LA MALEDICTION" ; bien qu'ayant le très mauvais rôle de protecteur du fils du Diable, nous nous étions jurés à cette époque que plus tard nous aurions "un chien comme ça". Ce n'est qu'après recherches que nous avons su que c'était un "rottweiler", et le destin avait choisi pour nous.

Les années ont passé avec notre rêve toujours vivant dans un petit coin et en mai 1991 est arrivé le premier rott : GAYANT des Hauts de Hurlevent, suivra INDIANA du même élevage en 1993 avec laquelle nous sommes entrés dans le monde des expos ; UHLAN est arrivé en 1996 et devait être la base de notre futur élevage, sa grave dysplasie a remis tout en question et cela se fît avec notre douce VODKA en 1997. Après l’obtention de notre affixe en 1998, la première portée vit le jour en 1999, nous offrant notre PHOEBUS et sa sœur PRISCA.

Si nous sommes arrivés là c’est aussi parce que nous sommes une petite « team » familiale, le virus ayant contaminé Guillaume à l’âge de 10 ans lorsqu’il s’est occupé d’INDIANA suivra VODKA, son fils PHOEBUS qu’il a mené en champion à l’âge de 19 ans, VANDA partie trop tôt, pour Mickaël, c’est arrivé en 2003 avec BELLA VOM CALIBRA, suivra VOLYA, puis EDEN ; nous leur devons beaucoup aussi, et je pense que notre force est justement qu’à quatre, avec une génération de différence, toutes les décisions sont mieux étudiées et tous les avis sont appréciés nous permettant de « rester dans le coup » car maintenant ce sont eux qui sortent en expos, moi je pouponne, mon mari assure les formations, et nous recevons avec plaisir les personnes intéressées pour les renseigner sur cette race superbe et les guider.

Toutes ces années nous ont appris qu’on ne s’improvisait pas éleveurs !
C’est une vocation et une responsabilité, nous mettons de petits êtres au monde…
L’élevage c’est « comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber », c'est ne jamais bâtir de château en Espagne, faire au jour le jour et savoir attendre, c’est savoir accepter la fatalité, se réjouir, verser des larmes ; c’est adorer ses chiens jusqu’au bout, et les voir partir « au premier qui tombe on meurt ; mais il faut se résigner et savoir accepter sa mort », mais surtout se relever pour les autres… C'est "quelques joies très vite effacées par d'inoubliables chagrins"...

Notre choix a d’ailleurs toujours été d’avoir peu de chiens afin de leur octroyer du temps, des câlins, des ballades, de l’attention. Ce ne sont pas des machines à reproduire, ce sont des êtres vivants avec un cœur et une âme…

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Mathilde notre petite-fille, et son Charly

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